A B
C D E F G
H I J K L M N O P Q R
S T U V W X Y Z
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Afrique Équatoriale Française
(AEF) : C'est une fédération
qui, héritière du Congo français et de l’ Ouest-Africain (1891-1910),
regroupa de 1910 à 1958 les colonies du Gabon, du Moyen-Congo, de
l'Oubangui-Chari et du Tchad, limité :
au nord par le Sahara algérien et la Lybie ,
à l'est et au sud par le Soudan et le Congo
belge,
à l'ouest par l'Atlantique et le Cameroun. |
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Alliés :
C'est l'ensemble des nations qui, pendant la Première et Seconde Guerre
Mondiale, luttèrent contre l'Allemagne. |
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Aryanisation :
mesures visant à l’expropriation des biens et à l’extermination des
personnes juives. Mesures discriminatoires, racistes et répressives
particulièrement développées avec l'idéologie nazie. |
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B.C.R.A.:
Bureau central de renseignements et d’action. |
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BBC British Broadcasting Corporation :
premier organisme de radio et de télévision du Royaume-Uni, fondé
en 1922. |
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CGT : La
Confédération générale du travail est née à Limoges en 1895. C’est
une date essentielle du syndicalisme français. Il faut attendre 1919 pour
que se crée une autre confédération syndicale: la Confédération
Française des Travailleurs Chrétiens. Cependant, le monopole de la
C.G.T. pendant la période 1895-1919 ne doit pas faire illusion: le
problème de l’unité se pose, bien que ce soit en termes spécifiques.
Il est l’expression de controverses entre la C.G.T. et la Fédération
des Bourses du Travail qui l’a précédée et revendique, comme sa
mission propre, les tâches de coordination.
Après trois scissions, la C.G.T. est ancrée
dans le syndicalisme de masse et de classe. Dirigée presque exclusivement
par les communistes depuis 1947, adhérente de la Fédération Syndicale
Mondiale qui ne compte guère en Europe occidentale. Elle est la
principale force sur l’échiquier syndical français malgré le recul de
son influence dû aux modifications du monde du travail, à la crise du
mouvement syndical et à la chute des régimes communistes d’Europe de l’Est
qu’elle a soutenus. |
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CNF :
Comité National Français . |
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COMAC :
Comité d’action militaire. |
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C.F.L.N :
Comité Français de Libération Nationale. Organe créé le 3 juin
1943 regroupant les gouvernements français d'Alger (général GIRAUD) et
de Londres (général de GAULLE) |
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Dénazification :
fait de dénazifier. De débarrasser un pays, une administration de ses
caractéristiques ou influences nazies. |
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Diktat 1.
traité imposé par une nation à une autre.
2. par extension décision imposée. |
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FFL :
Force Française Libre organe créé le 3 juin 1943, regroupant les
gouvernements français d'Alger (général GIRAUD) et de Londres
(général de GAULLE) |
FFI :
Forces françaises de l’intérieur. |
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FTP ou FTPF :
Francs-Tireurs et Partisans Français. Organisme de combat issu de
la Résistance, constitué principalement de communistes, agissant en zone
occupée à partir de 1942. |
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G.P.R.F :
Gouvernement provisoire de la République Française. Nom que prend
le 3 juin 1944 le Comité Français de Libération Nationale (CFLN)
réuni à Alger, assurant la transition entre le gouvernement de Vichy et
l’élection du premier président de la IVe République en janvier
1947. |
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Gestapo : abréviation
de " Geheime Staatspolizei ", police secrète d'État. Police
politique au service de l'Allemagne nazie. |
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Lebensraum : espace
vital en allemand. |
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M.U.R. :le
Mouvement Uni de la Résistance |
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Milice :
organisme de police et de sécurité intérieure créé par l’État
français, le 30 janvier 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale
pour s’engager, aux côtés de la Gestapo, dans la lutte contre les
résistants et dans la persécution des juifs. |
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MLN :
Mouvement de Libération Nationale |
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Oradour sur
Glane : village du centre-ouest
de la France, commune du département de la Haute-Vienne, arrondissement
de Rochechouart, en région Limousin, situé au nord-ouest de Limoges. À
la fin de la Seconde Guerre mondiale, le 10 juin 1944, les
160 SS de la division "Das Reich" massacrèrent la
population du village d'Oradour, en représaille des attaques des
maquisards freinant leur remontée vers la Normandie, où le débarquement
allié était survenu quelques jours plus tôt. Les ruines du village
martyr sont très visitées par les touristes. |
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O.R.A. :Organisation
de résistance de l’armée |
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R.O.P. :
Recrutement, Organisation, Propagande. Branche dans le mouvement
" Combat " qui est chargée de publier le journal. |
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S.R.C.E. :Service
de recherche et de contre-espionnage. |
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S.F.I.O :
Section Française de l’Internationale Ouvrière. |
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S.R. :
Service de Renseignement. |
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S.T.O. :
Service du Travail Obligatoire. Organisme Français de la Seconde Guerre
Mondiale chargé de fournir à l'Allemagne de la main-d'œuvre pour ses
entreprises. Le STO fut créé par Pierre LAVAL le 16 février 1943.
Il se substituait à la "relève" qui avait, depuis 1940, fait
appel à des volontaires pour aller remplacer dans les usines allemandes
les prisonniers de guerre. Le STO était obligatoire à l'image du service
militaire. D'autres mesures avaient été proposées, mais le STO, inscrit
dans le cadre général d'une loi sur " l'utilisation et
l'orientation de la main-d'œuvre" promulguée le 4 septembre
1942 par le gouvernement de Vichy, devait fournir à l'Allemagne une
preuve supplémentaire de la bonne volonté française.Tous les hommes
nés entre le 1er janvier 1920 et le 31 décembre 1922, soit
trois classes d'âge du baby-boom de l'après-guerre, furent mobilisés
pour partir en Allemagne.
L'efficacité de cette mesure fut
limitée : au total, peut-être 700 000 hommes furent
déportés en Allemagne au titre du STO, mais les rafles ne parvinrent pas
à mobiliser autant que désiré. De nombreux jeunes gens, pour échapper
au STO, rejoignirent les maquis. Aussi furent mises en place à
l'instigation de Speer, ministre de l'Armement du Reich, des Sbetriebe
installées en France et dont la main-d'œuvre était dispensée du STO,
en échange de 80 % de la production. Celle-ci constituèrent, pour
une Allemagne dont tout le tissu industriel était soumis aux
bombardements alliés, un appoint considérable.
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Velay :
région volcanique du Massif Central, en Auvergne, dans le département de
la Haute-Loire. Il correspond à peu près aux arrondissements du
Puy-en-Velay et d’Yssingeaux, qui en sont les villes principales. La
vallée de l’Allier, à l’ouest, et le Vivarais, à l’est, limitent
cette ancienne province. La Loire la traverse du sud au nord.
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Verdun, bataille de :
engagement militaire majeur de la Première Guerre Mondiale opposant
Français et Allemands, à proximité de la ville de Verdun (département
de la Meuse). Livrée entre février 1916 et février 1917, la bataille a
marqué un tournant décisif de la guerre sur le front français et
constitue aujourd’hui l’un de ses principaux symboles.
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